encore moins

par dominique ottavi  -  12 Mars 2017, 17:35

il meurt
juste avant la lettre m

le feu passe au rouge
juste avant la révolte des pompiers
l'ennemi s'est cloîtré
juste avant la porte des WC
mon amour est en l'air
juste avant l'étoile polaire
et moi je ris
juste avant rien du tout
ni quoi que ce soit
et encore moins

© dominique ottavi. Tous droits réservés

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
C
à partir de "non" je n'ai rien reçu <br /> de toi et je te croyais disparu<br /> mais voilà que tu nous envoies du lourd<br /> et quand c'est comme ça je dis je suis pour!<br /> <br /> te joins cette chanson à venir ne reste qu'à l'enregistrer!<br /> Bises continentales et printanières!<br /> <br /> En secret dans ce chant<br /> <br /> <br /> <br /> En secret dans ce chant, dans ce couplet j’ai mis<br /> quelques mots, quelques notes, un ensemble magique,<br /> qui pourrait te toucher, le jour où tu faiblis,<br /> un joyau merveilleux fait de mots, de musique…<br /> <br /> Quand je chante debout, je ramène la clique :<br /> un vent nouveau se lève on le voit, on le sent.<br /> Quand de nos faits et gestes, je fais la chronique,<br /> le refrain vous reprenez, bien évidemment !<br /> <br /> A cet instant tu sais, c’est ton cœur qui s’épanche,<br /> ça ne peut arriver qu’à des moments précis : <br /> quand je vois les fées qui sur ton berceau se penchent, <br /> que la chanson résonne, à l’infini s’enfuit…<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Les garçons, les filles se regardent un moment :<br /> rien n’est comme avant quand les sourires apparaissent,<br /> nul n’avait jamais vu cela auparavant<br /> et l’on pourrait bien mourir pourvu qu’on renaisse…<br /> <br /> Et puis quand survient le moment de la caresse,<br /> les soupirs et les rires alternativement<br /> éclatent aux alentours pour que jamais ne cessent <br /> les tourbillons de joie emportant les amants !<br /> <br /> A cet instant tu sais, c’est ton cœur qui s’épanche,<br /> ça ne peut arriver qu’à des moments précis : <br /> quand je vois les fées qui sur ton berceau se penchent, <br /> que la chanson résonne, à l’infini s’enfuit…
Répondre